A la Saint-Valentin, l'amour rend pauvre ...
... et non aveugle. Quoique ! A force d'aimer, on pourrait acheter n'importe quoi sans bien regarder et se faire arnaquer.
Ce jeudi, moi et ma chère et tendre sommes allés à un resto chinois. C'était bien bon, mais la majorité des plats était sacrément cher. Mais pour nous y rendre, il a d'abord fallu que je me rende au bureau de ma douce, qui se trouve à 500m de l'Alliance. Pas loin donc, sauf si on prend en compte le soleil de plomb de 12h. Evidemment, comme je suis un incurable romantique, une fleur était obligatoire. Je passe donc d'abord par le supermarché qui se trouve à côté. Je me dirige vers le petit coin du fleuriste, et je demande combien coûte les fleurs emballées. "60 soles, senor". Je crois que j'ai encore maintenant la surprise greffée dans ma rate. Putain 60 soles, c'est le prix d'un bon déjeûner dans un resto plus que raisonnable. Voleur de patates ! Dégoûté par ce putain d'esprit commercial, je quitte cet endroit maudit et anti-romantique, et je me dirige vers le bureau de ma femme. "Tant pis", me dis-je. C'est pas joli joli, mais je refuse d'entrer dans ce stupide jeu commercial.
En me promenant dans l'allée centrale de l'Avenue Arequipa, je me rends compte que je suis au milieu d'un océan de parterres remplis de ... fleurs de toutes les couleurs. C'est décidé : au moment de quitter cette avenue et de m'approcher du bureau de ma chère, j'irai cueillir une de ces beautés florales. Et puis merde quoi ! Ces trucs sont plantés avec mon pognon, mes impôts ! Evidemment, rien que pour me faire c****, un flic est passé en moto juste au moment où j'allais en cueillir une. Il a fallu que j'attende un peu, et hop ni vu ni connu, une fleur s'est retrouvée dans ma main, et quelques secondes après dans les cheveux de mon épouse.
Bon allez, nous voilà libres de toutes ces conneries pour un an.
Ce jeudi, moi et ma chère et tendre sommes allés à un resto chinois. C'était bien bon, mais la majorité des plats était sacrément cher. Mais pour nous y rendre, il a d'abord fallu que je me rende au bureau de ma douce, qui se trouve à 500m de l'Alliance. Pas loin donc, sauf si on prend en compte le soleil de plomb de 12h. Evidemment, comme je suis un incurable romantique, une fleur était obligatoire. Je passe donc d'abord par le supermarché qui se trouve à côté. Je me dirige vers le petit coin du fleuriste, et je demande combien coûte les fleurs emballées. "60 soles, senor". Je crois que j'ai encore maintenant la surprise greffée dans ma rate. Putain 60 soles, c'est le prix d'un bon déjeûner dans un resto plus que raisonnable. Voleur de patates ! Dégoûté par ce putain d'esprit commercial, je quitte cet endroit maudit et anti-romantique, et je me dirige vers le bureau de ma femme. "Tant pis", me dis-je. C'est pas joli joli, mais je refuse d'entrer dans ce stupide jeu commercial.
En me promenant dans l'allée centrale de l'Avenue Arequipa, je me rends compte que je suis au milieu d'un océan de parterres remplis de ... fleurs de toutes les couleurs. C'est décidé : au moment de quitter cette avenue et de m'approcher du bureau de ma chère, j'irai cueillir une de ces beautés florales. Et puis merde quoi ! Ces trucs sont plantés avec mon pognon, mes impôts ! Evidemment, rien que pour me faire c****, un flic est passé en moto juste au moment où j'allais en cueillir une. Il a fallu que j'attende un peu, et hop ni vu ni connu, une fleur s'est retrouvée dans ma main, et quelques secondes après dans les cheveux de mon épouse.
Bon allez, nous voilà libres de toutes ces conneries pour un an.